«Les barrages de la mere dans la plaine, c'etait le grand malheur et la grande rigolade a la fois, ca dependait des jours. C'etait la grande rigolade du grand malheur. C'etait terrible et c'etait marrant. Ca dependait de quel cote on se placait, du cote de la mer qui les avait fichus en l'air, ces barrages, d'un seul coup d'un seul, du cote des crabes qui en avaient fait des passoires, ou au contraire, du cote de ceux qui avaient mis six mois a les construire dans l'oubli total des mefaits pourtant certains de la mer et des crabes. Ce qui etait etonnant c'etait qu'ils avaient ete deux cents a oublier ca en se mettant au travail.» Это и многое другое вы найдете в книге Un barrage contre le Pacifique (Marguerite Duras)