"Il y a lieu de croire que Rogojine eprouva cette brusque sensation d'epouvante ; venant s'ajouter a tant d'autres emotions, elle l'immobilisa sur place et sauva le prince du coup de couteau qui allait inevitablement s'abattre sur lui. Rogojine n'avait pas eu le temps de se rendre compte de l'attaque qui terrassait son adversaire. Mais, ayant vu celui-ci chanceler et tomber soudainement a la renverse dans l'escalier, la nuque portant contre une marche de pierre, il etait descendu quatre a quatre en evitant le corps etendu et s'etait enfui de l'hotel presque comme un fou." Это и многое другое вы найдете в книге L'Idiot (на французском языке) (Fyodor Dostoevsky, Fyodor Dostoevsky)